Monique Joly : Bien universel, par essence, l’article scientifique, n’est pas un bien comme les autres

 » 10 ans après l’initiative de Budapest en faveur de l’Open Access1 , entre encouragement et réalité, il faut admettre que l’accessibilité aux résultats des recherches financées sur fonds publics, reste encore modeste : en France de 5 à 10 %, des articles scientifiques, sont libres.

Les institutions universitaires ne disposent plus de tous les moyens financiers leur permettant de garantir l’équité d’accès à l’information scientifique alors que leurs efforts se concentrent sur la production et la diffusion des découvertes et des nouvelles connaissances.

L’Open Access peut résoudre ce dilemme à condition de repenser le rapport qu’entretiennent les chercheurs et les institutions de recherche avec la diffusion des résultats de la science (…) « 

source > cge-news.com, Monique Joly, mars 2013

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