26.08.2013
Enseignement supérieur et recherche, Technologies de l'Information et de la Communication
Pourquoi suivre les universités sur Twitter
» Les universités ont quasiment toutes investi Twitter, avec un compte officiel les représentant. Moyen de communication simplifié, un compte Twitter permet à chacune d’entre elles de maîtriser son image, et d’envoyer une information ciblée auprès de ses étudiants, de ses futurs étudiants, de ses alumni, ou même du grand public. Un tweet, c’est court, et ça oblige à aller à l’essentiel.
Première observation : les universités qui ont un compte twitter l’utilisent régulièrement, quasi quotidiennement, pour informer sur leurs activités (enseignements, soirées, événements), faire une revue de presse du secteur de l’enseignement supérieur ou annoncer les dynamiques mises en place entre différents établissements. L’avantage, par rapport à un site institutionnel, c’est que vous pouvez interagir directement sur ce contenu : questions, remarques… L’université peut ainsi mieux connaître vos besoins et répondre à vos attentes.
Qui sont les bons élèves ? |
Nous nous sommes amusés à relever les comptes qui avaient le plus d’abonnés (en différenciant les universités franciliennes et celles implantées en régions pour une meilleure visibilité), et les universités les plus prolixes en tweets – relevé réalisé le 20 août 2013 – , pour en tirer quelques tops instructifs. Si nous avons voulu mettre en avant le nombre de tweets envoyés, c’est pour vous donner une idée des universités qui se sont totalement emparées de l’outil, que ce soit par une longévité d’utilisation, ou une pratique intensive, comptabilisant les réponses aux autres twittos. A ce jeu, c’est l’université de Nantes qui est première, autant en nombre de followers, que de tweets envoyés.
Certains comptes sont très dynamiques, aussi bien dans la fréquence d’utilisation (plusieurs messages par jour) que dans le ton employé (réponses directes aux questions, humour, etc.). C’est le cas de l’université de Bourgogne, de Lille 3, de Reims, de l’UPMC, ou de l’UVSQ (…) «