Eviter les éditeurs prédateurs (mise à jour, juin 2018)
« Sur internet, les revues scientifiques prédatrices, ou douteuses, ou parasites, ou illégitimes, ou peu scrupuleuses (predatory ou deceptive journals), profitent pour la plupart du modèle auteur-payeur de la publication en libre accès (open access). Leur but est mercantile, sans chercher à promouvoir ni pérenniser les résultats de la recherche. (…) »
source > coop-ist.cirad.fr, 22juin 2018