Le risque numérique : en prendre conscience pour mieux le maîtriser – Rapport de MM. Bruno SIDO, sénateur et Jean-Yves LE DÉAUT, député, fait au nom de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques n° 721 (2012-2013) – 3 juillet 2013

 » SYNTHÈSE DE CLÔTURE PAR M. MICHEL COSNARD, PRÉSIDENT-DIRECTEUR GÉNÉRAL DE L’INRIA

… Un des maîtres mots de nos échanges a été l’éducation, qu’il s’agisse de se doter d’experts en matière de sûreté, de sécurité ou de fiabilité, ou tout simplement de comprendre le monde. L’OPECST a encore beaucoup de travail devant lui !

M. Jean-Yves Le Déaut, premier vice-président de l’Office. Au cours de cette journée, beaucoup de sujets ont été abordés. Le développement du numérique et les risques qu’il présente sont un sujet très vaste, dont ni l’État ni le Parlement ne doivent se désintéresser. Nous avons travaillé en amont de la législation et de la régulation, pointant la nécessité d’instaurer un contrôle, mais, pour avoir déjà travaillé ici sur la cybercriminalité en 2005, nous savons combien il est difficile de mettre en place des règles de droit dans un domaine international et dématérialisé. Des constantes apparaissent cependant au niveau national, notamment la nécessité de développer la formation et la recherche, en ménageant la dualité du civil et du militaire. C’est ce que fait Thales, sous l’égide de Prix Nobel de physique Albert Fert. Le soutien à la recherche, comme le rôle des associations et du citoyen, est un enjeu essentiel pour le législateur. « 

source > senat.fr, juillet 2013

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